Inventaire de la flore sauvage

Un inventaire de la flore sauvage du terrain de La Graine Indocile a été réalisé de 2020 à 2023 par David Bricout, que vous pouvez retrouver sur son site Oumbi. Cette inventaire a été réalisé dans le cadre d'un mémoire du Diplôme Universitaire de botanique de terrain initié par la Société Botanique de France et l'Université de Picardie Jules Verne sous le tutorat de Anne-Marie Mollet (SBF). 

Nous ne vous partagerons seulement un extrait du rapport pour des raisons de confidentialité. 

Avant de voir la liste des plantes vous retrouverez ci-dessous la méthodologie, ainsi qu'une explication du zonage réalisé. En effet dans le tableau des plantes est indiqué la zone associée a chaque plante et par conséquent le milieu propice à son implantation.

Méthodologie

EN AMONT DES RELEVÉS

Un premier travail a été de rassembler les données les plus récentes et pertinentes sur la zone d’étude : climat, nature du sol, réseau hydrographique, taxons déterminants susceptibles d’être observés, sites remarquables et relevés floristiques effectués à proximité. Au delà des données obtenues sur internet et dans certains ouvrages.

Grâce à plusieurs prises de vue aériennes, le site a été découpé en zones de prospection correspondant aux différents milieux homogènes, conditionnés par le terrain lui-même mais aussi par la nature ou l’absence d’activités humaines.

SUR LE TERRAIN

Les différentes prospections ont été réalisées zone par zone, durant 11 sessions d’environ deux heures jusqu’à une journée complète, sur les périodes printanières et estivales d’avril 2021 à juillet 2022. Les actions menées par les propriétaires et par l’association La Graine Indocile ont posé quelques contraintes pour mener à bien ce travail. Il a été nécessaire de mettre en place une organisation avec Damien Dekarz pour réaliser les relevés en dehors des temps familiaux au jardin et des tournages de vidéos, ainsi que, concernant les zones de fauche ou de pâture, pour programmer les relevés aux moments les plus opportuns : avant la tonte des espaces les plus anthropiques et les rotations de pré pour les trois équidés qui les occupent. Occasionnellement, des fauches et des mises en pâture non-anticipées ont rendu impossible la poursuite des relevés sur une zone. Hormis pour les zones de faible étendue qui ont été prospectées de manière exhaustive, plusieurs quadrats (de tailles variables en fonction du milieu) ont été installés sur des surfaces homogènes, à l’aide de piquets et d’une corde. Ces quadrats étaient de formes variables en fonction du terrain, et d’environ :

  • 1m² pour les prairies
  • 2m² pour les ourlets et les friches (y compris les zones de vergers où seuls les chemins sont
    entretenus)
  • 10-20m² pour les zones boisées comme la ripisylve


Mais un sillonnage plus ou moins serré de toutes les zones a tout de même systématiquement permis de compléter les relevés des quadrats.
Exceptionnellement, deux bandes de végétation particulière au sein des prairies ont fait l’objet d’un transect.
Régulièrement, des échantillons ont été prélevés pour en effectuer les déterminations à domicile, en raison d’un manque de temps ou d’une météo trop défavorable. Les cultures dominantes / structurantes sont précisées pour chaque zone et les plantes subspontanées identifiées comme échappées des cultures pratiquées sur place sont également mentionnées.


Les taxons inventoriés pour cette étude ont été déterminés à l’aide de loupes à main x10, x30 et x60 (notamment pour les Poacées), d’un scalpel, d’un couteau, d’une pince de dissection et des ouvrages suivants :

  • Flora Gallica (FG) sur le terrain pour la plupart des déterminations mais aussi pour vérifier les résultats obtenus avec la FAL (ci-dessous) ou pour aboutir à un éventuel taxon infraspécifique.
  • La Flore d’Auvergne et Limousin (FAL) sur le terrain, souvent plus simple d’utilisation que FG bien que moins précise.
  • Flora Vegetativa (FV) sur le terrain pour les déterminations hors période de floraison.
  • Carex d’Auvergne, ponctuellement pour déterminer la seul espèce présente : Carex hirta.
  • La Flore continentale méditerranéenne, après certaines déterminations, pour vérifications à l’aide des schémas et descriptions.
  • Plusieurs ouvrages et outils pour vérifier la cohérence des déterminations avec les données du territoire :
    • Groupements végétaux et phytogéographie de la Corrèze
    • Plantes & végétations en Limousin : atlas de la flore vasculaire
    • Les cartographies du site internet de l’INPN (Inventaire National du Patrimoine Naturel).

Zonage

De manière très simplifiée, le site se divise en deux grands secteurs.

SECTEUR DES PRÉS PÂTURÉS

Situé côté nord (en vert sur la fig. 1), il comprend les prairies P1, P2, P3 allouées à une jument comtoise et deux ânesses, et quelques zones qui leur sont inaccessibles : la « zone noyaux » (ZN), l’enclos de la pêcherie (Pc), celui de l’étang (E) et la jeune haie clôturée qui sépare P2 et P3.

SECTEUR DES ACTIVITÉS HUMAINES

Situé côté sud (en rouge sur la fig. 1), il comprend :
• Le réseau de mares 
• La grange et les zones qui l’entourent, particulièrement anthropisées. Des tontes fréquentes sont réalisées sur plusieurs zones de ce secteur.
• les zones de cultures potagères et fruitières
• Les dortoirs-pondoirs des poules et des canards.


Des cueillettes très occasionnelles de plantes spontanées comestibles sont pratiquées dans ce secteur, mais leur impact reste négligeable.

 


Schéma des zones en vue satellite du terrain

Fig 1 - Les deux secteurs du site et les zones principales

Fig 2 - Zones prospectées

ZONES PROSPECTÉES
La fig. 2 liste les zones pour lesquelles un inventaire floristique a été effectué pour constituer le présent mémoire.

(Pc) Enclos de la pêcherie
(VE) Verger des Enfants
(P1-3) Pairies pâturées
(H1-2) Haies est du site
(E) Rive est de l’étang
(ZN) « Zone noyaux »
(ZV) « Zone de vie »
(T) Terrasse
(BC) Bord de clôture est de P2

(B) Dalle de béton enherbée
(PS) Pente sèche de P2
(Rs1-2) Ripisylve
(Ch) Chemin de la « zone de vie » au potager
 (M1) Première mare du circuit
(FC) Verger « Forêt comestible »
(Po) Potager
(H3) Haie sud du potager


Liste alphabétique des taxons identifiés

Nom commun

Nom scientifique

Zones (Cf zonage plus haut)

Image (cliquez pour agrandir)


Achillea millefolium

Ch, ZN, BC, P2

Agrostemma githago

HC

Agrostis capillaris

BC, P1, P2

Agrostis stolonifera

M1, Rs2, Rs1, E

Ajuga reptans

ZN, E, H1, P3, VE, Pc

Alliaria petiolata

H1

Alopecurus pratensis

Po, FC, M1, ZV, H3, P1

Amaranthus retroflexus

BC, P2

Anthoxanthum odoratum

FC, H3, P1, P3

Arrhenatherum elatius subsp. bulbosum

Po, Ch

Arum italicum

H1

Atriplex hortensis

Po

Atriplex patula

T

Avenella flexuosa

Po

Bellis perennis

P1

Beta vulgaris

Po

Bromus hordeaceus

Po, FC, Ch

Capsella bursa-pastoris

BC, P1, P2

Cardamine pratensis

Rs1, P1, Pc

Carex hirta

Po, FC, Ch, H3, P1

Catalpa bignonioides 

Pc

Centaurea jacea

Po, FC, Ch, BC, P1, P2, P3, VE 

Cerastium glomeratum

ZN, BC, P1, P2, P3

Chenopodium album

Po, ZV, BC, P2

Cirsium arvense

Po, P1

Cirsium palustre

Rs1, E, Pc

Cirsium vulgare

BC, P2

Convolvulus arvensis

Po, B, T,  P1

Convolvulus sepium

Po, Rs2, H3, PS

Cornus sanguinea

H3, H1, Pc

Corylus avellana

H1

Crataegus monogyna

FC, H3, H1, PS, VE, Pc

Crepis capillaris

P1, P2, P3

Cruciata laevipes

H1

Cynosurus cristatus

Po, P1, P3

Cytisus scoparius

Pc

Dactylis glomerata

Po, FC, Ch, T, ZV, H3, PS, P1, P2, P3, Pc

Datura stramonium

Po

Dryopteris filix-mas

Pc

Epilobium hirsutum

ZV

Epilobium tetragonum

Rs1, E

Equisetum fluviatile

Rs2

Equisetum palustre

Rs2, Rs1

Erigeron canadensis

B, ZV

Euonymus europaeus

H3, Pc

Filipendula ulmaria

M1, Rs2, Rs1

Galeopsis tetrahit

Rs2, Rs1, Pc

Galium aparine

Po, FC, Ch, T, H3, H1, VE, Pc

Galium palustre

Rs2, Rs1, PS

Geranium dissectum

Po, FC, M1, Ch, B, T, ZV, P1, P2, VE

Gerabium robertianum

Pc

Geum urbanum

Rs1

Glechoma hederacea

FC, ZV, H3, H1, Pc

Glyceria declinata

M1

Hedera helix

Rs1, H3, H1, Pc

Helosciadium nodiflorum

M1

Heracleum sphondylium

H1

Holcus lanatus

Po, ZV, BC, P1, P2, P3

Holcus x hybridus

M1, Rs2, Rs1, H3

Hypericum perforatum

P1

Hypochaeris radicata

ZV, PS, P1, P2, P3

Juglans regia

Pc

Juncus effusus

M1, Rs2, Rs1, E

Lactuca sativa

Po

Lactuca serriola

Po, B

Lamium purpureum

ZV

Lapsana communis

Po, B, ZV

Lathyrus aphaca

ZN

Lathyrus pratensis

Po, H3, P1, P2, P3

Lemna minor

M1, Pc

Leucanthemum vulgare

Po, T, PS, P1

Linum usitatissimum subsp. angustifolium

Po, P1

Lolium perenne

B, T, ZV, H3, BC, P1, P2, P3 

Lotus corniculatus

FC, ZV, BC, P1, P2, P3, VE

Lotus pedunculatus

Rs2, Rs1

Luzula campestris

Rs2, ZV, PS, P3

Lycopus europaeus

E

Lythrum salicaria

M1

Malva moschata

ZN

Matricaria discoidea

B

Melissa officinalis

Po

Neotinea ustulata

ZN, P3

Oenanthe pimpinelloides

FC, P1, P2, P3

Persicaria hydropiper

Rs2, ZV, PS

Persicaria maculosa

BC, P2

Phacelia tanacetifolia

Po

Phleum pratense

PS

Phytolacca americana

Pc

Plantago lanceolata

Po, FC, B, ZV, ZN, BC, P1, P2, P3, VE, Pc

Plantago major

Po, B, T, BC, P1, P2, P3 

Poa annua

Po, FC, Ch, B, T, ZV, P1, P2, P3, VE

Poa pratensis

FC

Poa trivialis

Po, M1, Ch, T, BC, P1, P2, P3 

Polygonum aviculare

B, T, BC, P1, P2

Potentilla erecta

PS

Potentilla sterilis

P1

Primula vulgaris

H1

Prunella vulgaris

PS, P1

Prunus spirnosa var. spinosa

FC, H3, H1, Pc

Quercus robur

Pc

Rabelera holostea

H1, Pc

Ranunculus acris

Po, FC, Ch, ZN, H3, P1, P2, P3 

Ranunculus flammula

Rs2, Rs1, E

Ranunculus repens

FC, M1, Ch, Rs1, ZV, ZN, PS, P1, P2, P3, VE, Pc

Ranunculus sardous

Po

Robinia pseudoacacia

H1

Rubus bifrons

H2

Rumex acetosa

FC, ZN, H3, PS, P1, P2, P3

Rumex acetosella

FC, Ch, BC, P2

Rumex crispus

FC

Rumex obtusifolius

Po, Ch, B, T, H3, BC, P1, P2, P3,  Pc

Salix caprea

Rs1, Pc

Sambucus nigra

Pc

Scirpus sylvaticus

M1, Rs1, ZV

Scrophularia nodosa

Pc

Solanum dulcamara

Rs1

Sonchus asper

ZV

Sparganium erectum

Rs2

Stellaria graminea

Po, Ch, ZN, PS, P2

Stellaria media

T, ZV

Stellaria palustris

Rs1

Symphytum caucasicum

Po

Taraxacum officinale

Po, B, ZV,  P1, P2, P3, VE, Pc

Torilis japonica

H2

Trifolium dubium

ZV, BC, P1, P2

Trifolium pratense

Po, ZV, BC, PS, P1, P2, P3, VE, Pc

Trifolium repens

Po, FC, Ch, B, T, ZV, BC, P1, P2, P3

Tripleurospermum inodorum

Po, B, BC, P1, P2

Typha latifolia

M1

Urtica dioica

Po, Rs1, T, ZV, H3, H1, P1, Pc

Verbascum thapsus

Pc

Verbena officinalis

Po, Ch, T, ZV, P1, P2

Veronica chamaedrys

FC, H1, P3, Pc

Veronica hederifolia

H1

Veronica persica

ZV

Veronica serpyllifolia

P1, Pc

Vicia segetalis

P1

Viola riviniana

Rs1, H1, Pc

Viscum album

VE, Pc


Pour aller plus loin…

Les notes complémentaires ci-après concernent les taxons faisant partie de groupes particulièrement complexes (Cichorieae, Juncaceae, Poaceae) et ayant amené des difficultés de détermination sur le terrain. Sont reportés ici les critères simples retenus pour une identification rapide.

Asteraceae Liguliflores

  • Crepis capillaris
    L’espèce est très commune dans les prés pâturés (P1-2-3).
    • Critères simplifiés (à partir de FG) pour le genre Crepis : Cichorieae à +20 fleurons jaunes, akène à bec nettement rétréci, involucre sur 2 rangs.
    • Critères simplifiés (à partir de la FAL) pour C. capillaris : feuilles découpées lobées, nombreux petits capitules <15mm de diamètre (les autres espèces de la dition possèdent des feuilles entière à dentées et/ou des capitules de 20 à 30mm de diamètre).
  • Lactuca serriola
    L’espèce est fauchée systématiquement sur le site, soit pour empêcher une hybridation avec les laitues cultivées, soit parce qu’elles poussent dans des zones passantes. N’ayant pas la possibilité d’observer une floraison, l’identification s’est faite à l’aide de FV.
    • Astéracée à latex blanc ; feuilles caulinaires opposées, auriculées, à face supérieure
      (sub)glabre, nervure principale épineuse sur la face inférieure, les secondaires glabres.

Juncaceae

  • Juncus effusus
    La FAL et FG nous permettent très rapidement
    d’aboutir à la dyade J. effusus / J. conglomeratus.
    • Pour FG : grandes plantes (⩾50cm) présentes à
      l’étage collinéen, à feuille bractéale cylindrique et feuilles non-bractéales réduites à des gaines basales ; normalement plus de 25 fleurs involucrées.
    • Pour la FAL : espèces (présentes en Limousin), à tige nue et feuilles non-bractéales réduites à une gaine ; inflorescence latérale dépassée par l’apex d’une tige vert franc et épaisse.

Il n’est pas évident de distinguer Juncus effusus de J. conglomeratus à l’aide de FG, sans une comparaison de visu (forme de la capsule, base de la feuille bractéale). De plus, FG donne une tige lisse pour J. effusus, et une tige finement striée pour J. conglomeratus. Or à fort grossissement (30x), J. effusus montre de très fines stries, également décelables en grattant la tige avec l’ongle. Une vérification sur FloreAlpes a été nécessaire pour vérifier que, chez J. conglomeratus, les stries sont nettement plus larges et marquées.


Pour ce dernier critère, la FAL donne une description plus éclairante :
◦ J. effusus : tige sub-lisse
◦ J. conglomeratus : tige striée

Poaceae

  • Agrostis capillaris subsp. capillaris / Agrostis stolonifera
    Une petite difficulté a été rencontrée face à la présence de Agrostis capillaris subsp. capillaris et Agrostis stolonifera sur le site, mais un critère simple permet de les distinguer :
    • A. capillaris : ligule tronquée. La sous-espèce capillaris est
      la seule présente à l’étage collinéen.
    • A. stolonifera : ligule obtuse. On note également que A.
      stolonifera est une espèce des milieux plutôt hygrophiles.
  • Cynosurus cristatus
    Cette espèce est assez commune dans les prairies pâturées (P1-2-3) et la prairie fauchée du potager (Po). La difficulté ici a été de comprendre l’agencement des épillets et la nature des glumelles stériles.
    • Chaque rameau porte des épillets stériles d’aspect pectiné, constitués de plusieurs paires de glumelles stériles linéaires alignées sur deux rangs, et d’un épillet fertile à 2 fleurons minimum (jusqu’à 5).
  • Lolium perenne
    Espèce des zones piétinées, on la trouve partout aux abords de la grange, mais aussi dans les zones les plus compactées des prés pâturés (P 1-2-3). La difficulté ici a été de ne pas réaliser tout de suite la présence d’une seule glume par épillet. Cette erreur nous orientait vers le genre Elytrigia (FG), ce qui ne correspondait pas, ne serait-ce que visuellement sur lesphotographies de FloreAlpes.

Remerciements de David

 

Je remercie avant tout la Société Botanique de France et l’Université de Picardie Jules Verne pour m’avoir permis d’intégrer ce cursus, ma tutrice Anne-Marie Mollet pour son temps, ses encouragements et ses conseils, ainsi que toute l’équipe pédagogique, mes camarades de promotion
et tout particulièrement Suzanne Lefort, Mathilde Poissenot et Océane Touzet pour les moments extrêmement riches que nous avons partagés, dans l’apprentissage comme au niveau humain.


Je remercie Marie Adinarayanin et Damien Dekarz pour leur accueil et leur enthousiasme quant à ce projet, et pour les nombreuses informations qu’ils ont pris le temps de me transmettre concernant le site, son histoire, son fonctionnement et les espèces introduites. Je les remercie également pour leur confiance et l’autorisation d’explorer les zones humides du site, ordinairement interdites d’accès
afin d’y accueillir une biocénose préservée de la moindre intervention.


Je remercie Laurent Chabrol, responsable du Pôle Biodiversité au CPIE de Corrèze, pour m’avoir aiguillé vers des ressources parfaitement pertinentes, et l’Observatoire de la Biodiversité Végétale Nouvelle-Aquitaine pour m’avoir transmis des données récentes sur les espèces déterminantes du territoire.

Je remercie enfin les señoritas Marie Fernandez et Maite Manzano Lopez pour leurs soutiens
complémentaires durant ces trois années.
Photographies

Bibliographie :

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  • L. BRUNERYE, Groupements végétaux et phytogéographie de la Corrèze, Société Botanique du Centre-Ouest, numéro spécial 47, 2020
  • A. CAILLON, S. BONIFAIT, L. CHABROL, J. DAO, N. LEBLOND, Q. RAGACHE, Liste hiérarchisée des plantes exotiques envahissantes de Nouvelle-Aquitaine, Conservatoire Botanique National Sud-Atlantique (coord.), Conservatoire Botanique National du Massif central et Conservatoire Botanique National des Pyrénées et de Midi- Pyrénées, v1.0, 2022
  • L. CHABROL, ZNIEFF 740120092, Bois et zones humides de la Grènerie, Espaces Naturels du Limousin, INPN, SPNMNHN Paris, [en ligne, consulté le 06-09-2023] https://inpn.mnhn.fr/zone/znieff/740120092.pdf
  • P. DUBOC, Flore d’Auvergne et Limousin : clé d’identification de la flore auvergnate et limousine, Pascal Duboc, 2020
  • S. EGGENBERG, A. MÖHL, Flora Vegetativa, 3e édition, Rossolis, 2020
  • J.-P. FLOC'H, P.-L. GUILLOT, D. SANTALLIER, Notice explicative de la feuille Uzerche à 1/50.000, Bureau des recherches géologiques et minières, 1984
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  • V. FIERS, Études scientifiques en espaces naturels, Outils de gestion et de planification, Cahiers techniques n°72, 2003
  • J. HO HOA, Longtemps surnommée le "château d'eau" de la France, quelles sont les ressources en eau réelles de la Creuse ?, La Montagne, 27 juillet 2020 [en ligne, consulté le 06-09-2023] https://www.lamontagne.fr/gueret-23000/actualites/longtemps-surnommee-le-chateau-d-eau-de-la-france-quelles-sontles- ressources-en-eau-reelles-de-la-creuse_13816623/
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  • Les espèces exotiques envahissantes sur les sites d’entreprises, Livret 2 : Identifier et gérer les principales espèces, Comité français de l’UICN, 2015.
  • Population Salon la Tour 2023 Nombre d'habitants, Ville Data, 2023 [en ligne, consulté le 06-09-2023] https://villedata.com/nombre-d-habitants/Salon-la-Tour-19-19250
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